samedi 16 mars 2024

« FELICITÀ »

 


< COUP DE COEUR >

Ce nouveau roman de Serena Giuliano est juste une pure merveille. Des émotions intenses. Un feu dans le cœur.

Dans ce roman, nous suivons un instant de vie déchirant de Valentina. Pages après pages, elle nous relate ses sentiments, ses sensations, sa nouvelle vie amputée d'un bout de son cœur, cette nouvelle vie sans Azzurra. Ses rendez-vous avec elle, ses monologues. La brutalité de l'absence, la grisaille en plein soleil, la brume permanente, être là sans être là. Je ne vais pas m'étaler sur ma vie privée, mais je ressens si fort tout ceci, et bien plus encore, indescriptible finalement. C'est pour ça que ce roman m'a autant bouleversé je pense.

J'ai aimé découvrir Valentina, son Totò, son quotidien, son travail. Un travail que j'ai adoré suivre. C'était si comique parfois ! Et les clients... très attachants... ou détestables !
Valentina, qui n'arrive pas à sortir la tête de l'eau depuis Azzurra, peut compter sur son entourage, qu'il soit professionnel ou amical. Chaque personne a son rôle à jouer, avec son caractère, ses défauts, ses qualités.

Les chapitres courts s'enchainent à une vitesse folle, donnant un rythme au récit, comme une musique fidèle, nous transportant indubitablement en plein cœur de l'histoire, en pleine Italie, en plein Milan, nous mêlant à la vie de la ville, aux gens qui la compose, à ses particularités, ses fissures, ses soleils.
J'ai énormément adoré les mails qui entrecoupent aussi les chapitres. Belle originalité et belle preuve d'amour, qui restera gravée, enfin... rédigée !

Et le lac de Côme, que dire ? Et bien pour ma part, il est un personnage à lui tout seul. Il fait rêver, vibrer, il est lumière autant que tempête, imprévisible, sauvage.

J'ai vraiment été transportée par ce récit qui nous offre une palette de sentiments, de la plus pure à la plus délicate. Un récit frais entrecoupé de grisaille et de belles éclaircies. Un voyage de saveurs, de couleurs, de compassion, de courage. Mais également un voyage d'amour.
Oui, l'amour. Car l'amour est omniprésent. Dans chaque phrase, chaque mot. L'amour au milieu des ténèbres, l'amour qui vous porte, vous fait survivre.

Des thèmes forts sont ici abordés au travers de chaque personnage : le deuil, les relations familiales, la différence, la jalousie, l'emprise, et surtout l'amitié, de celle qui n'existe qu'une fois, de celle qui résiste malgré les tempêtes, de celle qui perdure malgré l'absence, malgré la mort.

J'ai trouvé que chaque émotion, chaque situation, chaque fissure, chaque amour, étaient retranscrit avec brio par l'autrice, avec pudeur et humilité, avec une justesse délicate. Sa plume est fluide, sensible, avec la juste dose d'authenticité, de finesse, et cette pointe d'humour, précise et si naturelle, qui rend ce texte si réel, si humain, véritable.

En bref, un très grand coup de cœur pour ce roman qui m'a bousculé, m'a percuté de plein fouet. Je ne sais pas si c'est parce que je me retrouve dans les sentiments de Valentina, dans ce qu'elle vit, mais j'ai été troublée et l'ensemble, l'histoire globale, m'a vraiment émue, par ce petit supplément d'âme, ces signes qui surgissent et qui nous offre la plus belle des présences. Le coup de cœur pour ce texte a surgit dès les premières lignes, dès les premiers mots et ne m'a plus quitté. Tout est parfait pour moi : les personnages, les réparties, les lieux, les sensations, les décors, les descriptions, les sentiments, l'amour... et cette fin délicieuse qui me donne envie, encore !

Je vous le conseille vraiment. J'aime beaucoup les romans de Serena Giuliano, que je suis depuis le début, et chacun à sa façon a su me toucher.

Alors foncez chez votre libraire et commandez le !

Serena GIULIANO
Editions Robert Laffont















« DANS MON SANG, LA GRENADE »


< COUP DE CŒUR >

Un roman magnifiquement émouvant et touchant.
Une histoire pas banale, avec des sujets lourds et pourtant si délicatement dépeints.
Nous suivons quatre amies, chacune a un instant cruciale de sa vie. Le tout parfaitement entremêlé. 
La symphonie qui s’échappe de ce texte pourrait s’apparenter à une tendre mélodie, ponctuée de rythmes plus saccadés, plus puissants, parfois déchirants. Car oui, cette histoire, c’est toute cette symphonie qui résonne, fort. J’ai été très émue par ces femmes, par leur réflexion, leur force et leur faiblesse. Chacune avec sa propre personnalité, impeccablement décrite par l’autrice, nous permettant de ressentir vivement chaque instant qu’elles vivent. 
Au fil des pages, le puzzle du départ se met en place, la dernière pièce révélant toute sa vérité. 
Celle de la réalité, pas celle des apparences.
Des chapitres courts, imposants un rythme effréné, bienvenue, porté par la voix de femmes courageuses, différentes et pourtant complémentaires.
J’ai aimé chaque moment, chaque petit bonheur, chaque douleur, chaque vérité, chaque complicité, chaque instant qui font de ce roman une pépite, délicate et précieuse.
J’ai aimé le ton, le lieu, l’ambiance, les nuances et ces pointes d’humour qui parsèment le texte d’une certaine légèreté et qui m’ont fait bien sourire au milieu d’instants plus émouvants.
J’ai aimé le journal de Noémie qui s’intercale entre les chapitres et saupoudre le livre d’une aura poignante.
J’ai aimé le sujet du roman. Original. Traité avec des mots justes, vrais.
Et cette grenade fil rouge…
La plume de l’autrice est fluide, teintée de cette émotion évidente et d’une justesse incroyable, avec toujours cet humour ravageur, parfait.
En bref, très beau coup de cœur qui a réussi à toucher mon âme en plein cœur, m’a fait pleurer et sourire, m’a embarqué avec lui dans cette rue des Écoles sans école. Les apparences, la réalité, les traumatismes, l’amitié. L’amour. Et ce titre qui prend tout son sens.
À lire absolument !

Léa Volène
Éditions l’Archipel

« UN ANIMAL SAUVAGE »


< COUP DE FOUDRE >

Première fois que je lis Joël Dicker et… whaou ! Je suis tombée en amour de cette plume, et surtout, de ce roman !
Quelle claque ! Quelle maîtrise ! Que ce soit dans le style, dans l’intrigue, dans la psychologie des personnages, les lieux, les événements, les rebondissements… quelle adresse ! 
J’ai aimé me plonger dans cet Animal Sauvage, me laisser entraîner dans ce récit palpitant, addictif, me laisser, le temps d’une lecture, happer par l’histoire, m’imaginer les lieux, l’environnement, l’atmosphère, les couleurs, l’ambiance. Tout est parfaitement décrit pour s’immerger totalement dans le texte.
Page après page, nous suivons, le temps de quelques jours, entre présent et passé, l’origine et l’aboutissement d’une intrigue diabolique, originale et menée d’une main de maître.
La vie parfaite existe-t-elle ? Les apparences sont souvent trompeuses… l’intérieur est souvent plus moche. L’envie, la jalousie ne sont pas les meilleures amies. 
Chaque personnage est attachant, avec ses défauts, ses qualités, ses faiblesses et ses forces. Leurs secrets aussi. 
En bref, un vrai coup de foudre pour ce polar totalement addictif, avec un suspens totalement maîtrisé et une psychologie des personnages totalement fascinante. Une tension qui monte miettes à miettes, des retournements de situation qui tiennent en haleine, une panthère en fil rouge, et cette fin… quelle fin ! Je n’ai rien vu venir. Tout est tellement bien entremêlé, imbriqué… la parfaite maîtrise !
À découvrir absolument !

Joël Dicker
Éditions Rosie & Wolfe

vendredi 15 mars 2024

« LA TROISIÈME CLÉS - TOME 1 : DEUX FRÈRES »

 


< ÉMOUVANT COUP DE CŒUR >

Émouvant coup de cœur pour ce récit passionnant qui s’étale de 1914 à 1919. En plein cœur de la famille Fabre, de la tourmente qui les engloutis, du courage qui les envahit, de l’espoir qui les transcende, du deuil qui les poignarde.
Cette histoire est d’une beauté parfaite, avec sa cruauté, ses horreurs, ses sacrifices. Ses forces et ses faiblesses. 
Miettes à miettes, les membres de la famille Fabre s’expriment à travers des chapitres courts qui s’enchaînent à une vitesse folle, imprimant un certain rythme et nous entraînant avec eux au centre de leur vie, cette vie volée en éclat avec l’arrivée de la guerre. Chaque membre, et pas que, nous raconte ses aspirations, ses lâchetés, ses espoirs, ses abattements. La guerre a fait d’eux un autre, une autre. Des caractères qui se façonnent, des attitudes qui dégoûtent. Le cœur déchiré entre le devoir, la famille, l’avenir et l’amour.
J’ai aimé ce roman car il m’a emmené très loin avec lui, dans une période difficile que je n’aurais pas aimé vivre, dans un contexte historique passionnant et déchirant à la fois, un roman qui m’a bercé de larmes, avec des passages insupportables mais si nécessaires pour montrer la réalité.
J’ai aimé ce roman car le texte est bien construit, multipliant les différents aspects pendant cette période, que ce soit là-bas, sur le front, où ici, à Paris.
La plume de l’auteur est juste parfaite, maitrisée, provocatrice d’émotions, de sensations. Une plume fluide, en parfaite adéquation avec le texte et son époque.
En bref, un émouvant coup de cœur pour ce roman dont j’ai hâte de lire la suite. Car cette fin… Un roman prenant qui m’a emportée dans les tourments de la guerre, dans cette ambiance maussade omniprésente. Un roman qui se nourrit d’une réalité frappante, d’une famille bouleversante et des affres de la guerre, du deuil, de l’amour, de la vie.
Je vous le conseille fortement !

Joffrey Gabriel
Auto-édition

« L’HOMME DES MILLE DÉTOURS »


< COUP DE CŒUR >

Coup de cœur pour ce roman magnifique et plein d’amour. De passion. De frissons. 
Oui, de frissons. 
J’ai ai eu. 
Beaucoup. 
Des frissons d’émotions. D’émotions fortes.
Cette histoire m’a bouleversée. Elle a pris son temps. M’a pris dans ses mots. Ses maux.
Ivan, Gary, Erin. Et les enfants. Chacun m’a bouleversée à sa manière. Avec son caractère. Sa psychologie. Travaillée d’une telle profondeur que c’en était troublant. 
Et la mer. Personnage à part mais omniprésent. Cette eau que j’aime tant et qui m’a pourtant brisée.
Ce récit raconte l’amour, les blessures, les espoirs, les peurs, les petits bonheurs, les malheurs. Il raconte la vie. La famille. Celle du sang. Celle du cœur.
L’histoire d’une rencontre. Du destin. 
L’histoire de personnages torturés, abîmés.
L’histoire d’un amour passionnel, d’un amour toxique, d’un amour dévastateur, d’un amour qui prend son temps, pur, vrai.
L’histoire d’hommes, de paternité.
J’ai adoré que les personnages prennent leur temps pour se dévoiler, se confier, se découvrir. Chaque parcelle d’eux est retranscrite avec pudeur, avec perfection.
La plume de l’autrice est juste magnifique, empreinte d’une émotion intense, d’humanité, de chaleur, de vérité.
En bref, énorme coup de cœur pour ce roman qui m’a émue aux larmes. Souvent. Un récit profond, intense, où chaque bouleversement est ressenti puissance mille. Où mon cœur, après mille détours, a fait boom.
Et cette couverture ! J’en suis amoureuse. Elle est si pure, si belle, si juste. Si eux.
À lire absolument.

Agnès Martin-Lugand
Éditions Michel Lafon

vendredi 25 février 2022

Chronique : "L'amant Russe"

☆ BOULEVERSANT ☆



Auteur : Gilles Leroy
Maison d'éditions : L'Imaginaire Gallimard
Date de sortie : 10 février 2022 (version poche)

Résumé :
« Il embrassait comme un voleur novice. Vite et violent, avec des mains clandestines qui me faisaient la peau comme on fait les poches. Les doigts ont glissé en pied-de-biche sous la chemise, ont forcé la ceinture à la taille. Il m’a tout appris dans un baiser de camisole. Dans sa bouche était le goût du péché, que l’on n’oublie pas. »
Lorsque le narrateur adolescent rencontre Volodia à Leningrad, c’est un véritable coup de foudre : il sait qu’il vient de croiser son destin. Inéluctable et fatale, la passion charnelle les emporte et désarçonne le lecteur, qui revit avec intensité le temps des premières fois.
Dans ce récit autobiographique, l’auteur retrace avec clairvoyance toute la rage du sentiment adolescent. L’amant russe compose ainsi un véritable chant d’amour, fait d’urgence, de corps morcelés et d’érotisme électrique.


Ma Chronique

Coup de cœur pour l'histoire, coup de cœur pour les personnages, coup de cœur pour les émotions, coup de cœur pour les mots, coup de cœur, coup de foudre, coup d'amour... je ne sais plus trop, je n'ai plus les mots...

Dès les premières pages de la préface, le cœur fait boum. Il s'arrête, puis repart, un peu chamboulé.
Ce roman, c'est une sublime histoire d'amour, de désir, d'émois. Une histoire d'amour aussi belle que triste, aussi foudroyante qu'éblouissante. Une histoire d'amour dans l'urgence, dans le noir mais à la plus belle clarté du cœur. Le piège funeste d'un premier amour.
C'est sec, c'est franc, raconté avec la plus belle des plumes, dans l'inéluctable destin du cœur brisé mais riche d'amour, marqué pour toujours.

Ce récit autobiographique est bouleversant. Il nous transporte en pleine Russie, au cœur d'un coup de foudre aux ombres funestes. Le narrateur nous raconte sa rencontre avec Volodia, nous en décrit chaque sentiment, chaque frisson, chaque peur et chaque désir. Une rencontre poignante faite de non-dits, d'interdit, mais si violente, si vibrante, si urgente, que seul l'amour, le toucher, la peau, viendront quelque peu apaiser les tourments de notre narrateur. Un amour d'une grande beauté, nourri de regards, de frôlements, aussi dramatique qu'une lumineuse noirceur. J'ai aimé être aux côtés du narrateur pour ressentir chaque sensation, chaque sentiment qu'il a pu goûter, cette violence, cette peur et pourtant cet amour si grand, si fort, si essentiel, qu'il en deviendra rage, rage d'aimer, rage d'accéder à cet homme, à Volodia, Volodia si contradictoire et qui pourtant lui donne tout, lui offre tout, tout de lui, tout en préservant sa propre vie. Une dépendance dangereusement exquise s'installe. L'amour est né.

Au-delà de l'histoire magnifique, ce qui m'a marquée le plus, c'est la plume de l'auteur. Une plume bouleversante, magnifiée par la poésie qui s'en dégage, par les émotions, par cette évidence des mots pour raconter les maux, par cette sensibilité féroce de nommer. Une plume qui va bien au-delà de la simple écriture.

En bref, un énorme coup de cœur pour ce roman, pour ses protagonistes, pour ce récit qui marque profondément la chair et l'âme, pour cet amour troublant de délicatesse, pour cet amour violent de passion, pour cet amour interdit mais intense et  bien en vie, inoubliable.
Merci à l'auteur pour nous avoir offert ce bout de vie, ce bout de lui, cette rage du sentiment adolescent, un chant tout en sensibilité et tendresse tel un véritable requiem d'amour.


mercredi 16 février 2022

Chronique : "Le livre de Neige"

☆ COUP DE COEUR ☆



Auteur : Olivier Liron
Maison d'éditions : Gallimard
Date de sortie : 10 février 2022

Résumé :
« J’ai voulu écrire ce livre comme un cadeau pour ma mère, Maria Nieves, dite Nieves, qui signifie neige en espagnol. Un livre pour elle, entre vérité et fiction. Un portrait romanesque par petites touches, comme des flocons. »
Neige a grandi sous la dictature franquiste, puis connu l’exil et la misère des bidonvilles de Saint-Denis. Humiliée, insoumise, elle s’est inventé en France un nouveau destin. Hommage espiègle d’Olivier Liron à sa mère, cette héroïne discrète qui lui a transmis l’amour de la vie et l’idée que les livres sont notre salut, Le livre de Neige raconte aussi, en creux, la naissance d’un écrivain.


Ma Chronique

Un roman en deux temps qui vous happe dès les premiers mots. Un roman généreux, sensible et délicat où l'émotion est palpable à chaque ligne. Un roman que j'ai beaucoup apprécié lire car il instruit, il émerveille, il touche, en plein cœur.

Effectivement, Neige a toutes les caractéristiques d'une héroïne. Elle affronte bien des combats pour arriver là où elle est, pour réussir à s'offrir cette vie qu'elle a tant rêvée. Elle s'est battue de bien des façons, a traversé des orages, des tempêtes, des humiliations, des incompréhensions. Son destin, elle ne le doit qu'à elle-même, à sa force, sa détermination. Un combat de chaque jour pour une vie meilleure.

Il est difficile de "juger" un roman qui raconte une vie, une part de soi, une réalité, même si elle est de fiction parfois. Je me suis demandée, à la lecture du livre, si l'auteur, Olivier Liron, était au courant de ce que sa mère avait vécu, s'il connaissait tout de sa vie qu'il nous raconte avec tant d'amour, s'il n'a pas pleuré parfois à l'écriture de ce roman, pleuré de voir tout ce que sa mère a enduré, pleuré de fierté devant tant d'obstination et de volonté pour se sortir de cette vie qu'elle ne voulait pas, pleuré d'émotion, pleuré d'amour, tout simplement.

Ce roman, cette histoire, c'est comme un rude hiver qui peu à peu fond à l'arrivée du printemps. Il faut se battre, souffrir, tenir coûte que coûte. Parfois rêver et s'évader dans la douce lenteur d'un flocon qui virevolte, espérer dans un rayon de soleil qui brise la glace. Puis une jeune pousse, celle d'y croire, qui pointe le bout de son nez, grandit et arrive à éclore pour offrir la lumière, pour offrir la récompense à tout les efforts, à tous les sacrifices. Et surtout, la naissance d'un bout de soi, pour l'avenir.

La plume de l'auteur est juste magnifique. Elle nous transporte à travers les pages de ce livre comme elles vous transporteraient dans un monde parallèle, elle vous fait vivre mille sensations, vous fait vibrer, trembler. La plume d'Olivier Liron entremêle à la perfection poésie, humour et rigueur. Une plume très agréable à lire, fluide, pleine de délicatesse, parfois piquante, mais toujours bienveillante.

En bref, ce roman fut un coup de cœur. J'ai aimé me plonger dans le vie de Neige, puis dans celle de l'auteur dans la deuxième partie, même si Neige reste au cœur de celle-ci. J'ai aimé découvrir l'Espagne à cette époque, une Espagne dure et bouleversante, j'ai tout aimé de ce roman. Un roman très personnel où l'amour d'Olivier pour sa mère transparait à chaque page, chaque mot. Un récit sublimé par les émotions et la sensibilité de l'auteur, par une pureté sans égal, par un regard tendre, bienveillant et plein d'amour d'un fils pour sa mère. Un beau cadeau qui m'a ému aux larmes.


« FELICITÀ »

  < COUP DE COEUR > Ce nouveau roman de Serena Giuliano est juste une pure merveille. Des émotions intenses. Un feu dans le cœur . Dan...